Beeld – Image – Bild: Het zogenaamde “Waals” parlement, een van de talrijke peperdure en geldverspillende instellingen in België die het illegale en ongrondwettelijke federalisme mede in stand houden – Le soi-disant parlement “wallon”, l’une des nombreuses institutions belges dispendieuses et dilapidatrices, qui contribuent à maintenir le fédéralisme illégal et inconstitutionnel – Das sogenannte “wallonische” Parlament, eine der zahlreichen überteuerten und verschwenderischen Institutionen Belgiens, die den illegalen und verfassungswidrigen Föderalismus mit aufrechterhalten
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IL Y A ASSEZ D’ARGENT!
Le Premier ministre et séparatiste Bart De Wever (N-VA) a récemment déclaré comme invité à un cours à l’université de Gand (le 7 octobre 2025), que l’argent des autorités belges (et il y en a beaucoup) était épuisé. Mais ce qu’il n’a pas dit – et que vous n’apprendrez pas non plus par les médias particratiques – c’est que les régions et les communautés coûtent chaque année une somme vertigineuse aux Belges. En effet, par le biais de l’État « fédéral » et de leurs propres recettes fiscales, ces entités inconstitutionnelles, polarisantes et superflues reçoivent chaque année environ 100 milliards d’euros. Ce montant n’est soumis à aucun contrôle : il s’agit d’un chèque en blanc.
Les régions et les communautés disposent en Belgique de trois grandes sources de revenus. Tout d’abord – surtout pour ce qui concerne les régions – il s’agit d’impôts propres perçus directement (par exemple les droits d’enregistrement ou le précompte immobilier). Ensuite, elles reçoivent chaque année une somme provenant des dotations fédérales. Enfin, les régions perçoivent des recettes via des centimes additionnels à l’impôt fédéral des personnes physiques.
Nous pouvons ainsi examiner, entité par entité, combien ces structures superflues coûtent chaque année aux Belges.
1) Les communautés
La « communauté flamande » perçoit chaque année une petite part d’impôts propres (environ 200 millions d’euros par an). Elle reçoit en outre 5 milliards d’euros de dotations « fédérales » annuelles (dont 250 millions d’euros vont à la COCON – la « Commission communautaire flamande » – dans la région bruxelloise). La « communauté française » reçoit chaque année 8 milliards d’euros de dotations « fédérales », dont 400 millions d’euros vont à la COCOF – la « Commission communautaire française » – à Bruxelles. De plus, elle perçoit 250 millions d’euros d’impôts propres par an. La COCOM (Commission communautaire commune) dans la région bruxelloise reçoit chaque année 1 milliard d’euros de transferts « fédéraux ». Les 200 millions d’euros supplémentaires que cette entité perçoit chaque année proviennent du budget de la région bruxelloise.
Enfin, la communauté germanophone prélève chaque année 10 millions d’euros d’impôts propres. Elle reçoit 90 millions d’euros de dotations annuelles de l’État.
En résumé, les trois communautés reçoivent ensemble environ 13 milliards d’euros par an de l’Etat belge. Les trois commissions communautaires de la région de Bruxelles-Capitale perçoivent chaque année environ 2 milliards d’euros, versés indirectement (via le budget des communautés ou celui de la région bruxelloise) ou directement par l’Etat central.
2) Les régions
Depuis la sixième “réforme” de l’État, une partie des recettes des régions provient des centimes additionnels à l’impôt « fédéral » des personnes physiques. Pour la région “flamande”, cela représente 18 milliards d’euros par an. Cette région reçoit en outre 19 milliards d’euros de dotations « fédérales » directes. Comme si cela ne suffisait pas, elle prélève encore 10 milliards d’euros d’impôts propres.
La région “wallonne” perçoit 5 milliards d’euros d’impôts propres et reçoit 11 milliards d’euros de dotations « fédérales ». À cela s’ajoutent encore 10 milliards d’euros qu’elle obtient chaque année via les centimes additionnels à l’impôt national sur le revenu des personnes physiques. Ce dernier montant s’élève, pour la région bruxelloise, à 3 milliards d’euros. Cette entité reçoit chaque année la même somme sous forme de dotations directes. Enfin, la région prélève chaque année 2 milliards d’euros d’impôts directs.
Les trois régions reçoivent ensemble environ 64 milliards d’euros par an de l’État belge. Une très petite partie de cette somme est reversée à la COCOM (Commission communautaire commune).
3) Autres dépenses
Indépendamment des montants astronomiques mentionnés, l’État « fédéral » accorde chaque année environ 1 milliard d’euros aux régions et aux communautés pour financer des compétences partagées, des accords de coopération, des assainissements ou des aides ponctuelles.
En résumé, environ 79 milliards d’euros vont chaque année aux régions et aux communautés. Celles-ci prélèvent en outre plus de 17 milliards d’euros d’impôts directs. Cela représente évidemment une somme vertigineuse (environ 100 milliards d’euros).
Chaque année, l’État central perçoit 127 milliards d’euros de recettes, dont 79 milliards d’euros sont donc transférés aux « entités fédérées ». Il lui reste donc 48 milliards d’euros. La plus grande partie de cette somme sert à financer la sécurité sociale (avec les cotisations de la sécurité sociale et d’autres recettes, le montant total dépensé pour les branches nationales de la sécurité sociale atteint environ 100 milliards d’euros). Le reste de l’argent doit financer tous les autres départements.
Contrairement à ce que De Wever a déclaré, par hypocrisie ou par ignorance (?), il y a donc bel et bien assez d’argent en Belgique. Il est simplement gaspillé de manière éhontée. Il est scandaleux qu’environ 100 milliards d’euros soient gaspillés chaque année pour des entités totalement inutiles, qui ne peuvent même pas être contrôlées par une autorité supérieure. Au moins 10 milliards d’euros de cette somme constituent de l’argent public superflu et gaspillé (voir notre étude).A titre de comparaison, l’État belge est contrôlé par l’Union européenne. 80 % de ce montant (toutes les recettes non perçues directement) sont d’ailleurs payés par l’ensemble des Belges, d’Arlon à Ostende. Ils sont condamnés à payer pendant des décennies pour maintenir en vie un labyrinthe fédéral linguistique ingérable et ruineux. Toute compétence exercée par les soi-disant « entités fédérées » peut être assumée, d’une part, par l’État national et, d’autre part, par les provinces. Plus que jamais, il est nécessaire de rétablir la Belgique unitaire – avec un seul parlement et un seul gouvernement – après un référendum sur cette question.

Beeld – Image – Bild: De koepelzaal van het overbodige, schadelijke en ongrondwettelijke “Vlaams” parlement – La salle coupole du parlement “flamand”, une institution superflue, nuisible et inconstitutionnelle – Die Kuppelhalle des überflüssigen, schädlichen und verfassungswidrigen „flämischen“ Parlaments
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ER IS GELD GENOEG!
Premier en separatist Bart De Wever (N-VA) verklaarde recent op een gastcollege aan de universiteit van Gent (7 oktober 2025) dat het geld van de Belgische overheden (er zijn er wel wat) op is. Maar wat hij niet zei en u ook niet via de particratische media zal vernemen, is dat de gewesten en de gemeenschappen de Belgen jaarlijks een duizelingwekkende som kosten. Via de “federale” staat en eigen belastinginkomsten verkrijgen deze ongrondwettelijke, polariserende en overbodige entiteiten jaarlijks zo’n 100 miljard EUR. Dit bedrag wordt niet gecontroleerd: het betreft een blanco cheque.
De gewesten en de gemeenschappen hebben in België drie grote bronnen van inkomsten. Allereerst gaat het – voornamelijk voor wat de gewesten betreft – om rechtstreeks geïnde eigen belastingen (bv. registratierechten of onroerende voorheffing). Vervolgens om een som die hen jaarlijks toegekend wordt door “federale” dotaties. Ten derde innen de gewesten inkomsten via opcentiemen op de “federale” personenbelasting.
We kunnen zo per entiteit bekijken hoeveel geld deze overbodige entiteiten de Belgen jaarlijks kosten.
1. De gemeenschappen
De “Vlaamse” gemeenschap int jaarlijks een klein deel eigen belastingen (ca. 200 miljoen EUR per jaar). Ze verkrijgt voorts 5 miljard euro aan jaarlijkse “federale” dotaties (waarvan 250 miljoen EUR naar de VGC – de “Vlaamse” gemeenschapscommissie – in het Brussels gewest gaan). De “Franse” gemeenschap verkrijgt jaarlijks 8 miljard EUR aan “federale” dotaties, waarvan 400 miljoen EUR naar de Brusselse FGC – de “Franse” gemeenschapscommissie – gaan. Daarenboven int ze jaarlijks 250 miljoen EUR aan eigen belastingen. De GGC in het Brussels gewest verkrijgt jaarlijks voor 1 miljard EUR aan “federale” transfers. De overige 200 miljoen EUR die deze entiteit elk jaar ontvangt, komt uit de Brusselse begroting. Ten slotte heft de Duitstalige gemeenschap elk jaar 10 miljoen euro aan eigen belastingen. Ze verkrijgt 90 miljoen euro aan jaarlijkse dotaties van de staat.
Kortom, de drie gemeenschappen verkrijgen krijgen elk jaar samen ca. 13 miljard EUR van de Belgische staat. De drie gemeenschapscommissies in het Brussels gewest verkrijgen jaarlijks liefst ca. 2 miljard euro, onrechtstreeks (via de begroting van de gemeenschappen of die van het Brussels gewest) of rechtstreeks betaald via de centrale staat.

Beeld – Image – Foto: Het Brussels parlement, een zoveelste peperdure instelling in het federale België – Le parlement bruxellois, une énième institution dispendieuse dans la Belgique fédérale.- Das Brüsseler Parlament, eine weitere überteuerte Institution im föderalen Belgien
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2) De gewesten
Sedert de zesde “staatshervorming” komt een deel van de inkomsten van de gewesten uit opcentiemen op de “federale” personenbelasting. Voor het “Vlaams” gewest gaat het om 18 miljard EUR per jaar. Dat gewest verkrijgt daarenboven 19 miljard EUR aan rechtstreekse, “federale” dotaties. Alsof dat nog niet genoeg is, heft het voor 10 miljard EUR aan eigen belastingen. Het “Waals” gewest heft 5 miljard aan eigen belastingen en verkrijgt 11 miljard EUR aan “federale” dotaties. Daar komen nog 10 miljard EUR bij die het gewest verkrijgt via jaarlijkse opcentiemen op de nationale personenbelasting. Dat laatste bedrag bedraagt voor het Brussels gewest 3 miljard EUR. Eenzelfde bedrag krijgt die entiteit jaarlijks via rechtstreekse dotaties. Het gewest int ten slotte jaarlijks rechtstreeks 2 miljard EUR aan rechtstreekse belastingen.
De drie gewesten verkrijgen elk jaar samen ca. 64 miljard EUR van de Belgische staat. Een zeer klein deel daarvan wordt doorgestort naar de GGC.
3. Andere kosten
Los van de genoemde en astronomische jaarlijkse sommen, kent de “federale” overheid jaarlijks ca. 1 miljard EUR toe aan de gewesten en de gemeenschappen om gedeelde bevoegdheden te financieren, voor samenwerkingsakkoorden, saneringen of ad hoc-steun.
Kortom, zo’n 79 miljard EUR gaat jaarlijks naar de gewesten en de gemeenschappen. Die heffen bovendien méér dan 17 miljard EUR aan rechtstreekse belastingen. Dat is natuurlijk een duizelingwekkende som geld (ca. 100 miljard EUR).
Jaarlijks int de centrale staat 127 miljard EUR aan inkomsten, waarvan dus 79 miljard EUR naar de “deelstaten” gaat. Die houdt dus 48 miljard EUR over. Het grootste deel daarvan dient om de sociale zekerheid te bekostigen (door RSZ-bijdragen en andere inkomsten loopt het bedrag dat gespendeerd wordt aan de nationale takken van de sociale zekerheid op tot ca. 100 miljard EUR). Met de rest van het geld moeten alle andere departementen gefinancierd worden.
In tegenstelling tot wat De Wever huichelachtig of uit onwetendheid (?) verklaarde, is er dus geld genoeg in België. Het wordt alleen op schaamteloze wijze verspild. Het is schandalig dat er jaarlijks zo’n 100 miljard EUR verkwist wordt aan totaal nutteloze entiteiten die niet eens door een hogere overheid gecontroleerd kunnen worden. Minstens 10 miljard euro daarvan is overtollig, verspild belastinggeld (zie onze studie).
Ter vergelijking: de Belgische overheid wordt door de EU gecontroleerd. Van dat bedrag wordt 80% (alle niet-rechtstreeks geïnde inkomsten) overigens betaald door àlle Belgen, van Aarlen tot Oostende. Zij worden geacht decennia te betalen om een onwerkbaar en peperduur taalfederalistisch labyrint in stand te houden. Elke bevoegdheid die door de zogenaamde “deelstaten” wordt uitgeoefend kan enerzijds door de nationale staat en anderzijds door de provincies worden uitgeoefend. Meer dan ooit is het nodig om het unitaire België – met een enkel parlement en een enkele regering – te herstellen na een referendum over deze kwestie.

Beeld – Image – Bild: Ook de Duitstalige gemeenschap beschikt over een eigen illegaal en peperduur parlement – La communauté germanophone dispose elle aussi de son propre parlement illégal et extrêmement coûteux. – Auch die deutschsprachige Gemeinschaft verfügt über ein eigenes illegales und überteuertes Parlament.
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ES GIBT GENUG GELD!
Premierminister und Separatist Bart De Wever (N-VA) erklärte kürzlich in einer Gastvorlesung an der Universität Gent (am 7. Oktober 2025), dass das Geld der belgischen Behörden (und davon gibt es einige) aufgebraucht sei. Was er jedoch nicht sagte – und was Sie auch in den parteiengesteuerten Medien nicht erfahren werden –, ist, dass die Regionen und Gemeinschaften die Belgier jedes Jahr eine schwindelerregende Summe kosten. Über den „föderalen“ Staat und ihre eigenen Steuereinnahmen erhalten diese verfassungswidrigen, spaltenden und überflüssigen Gebilde jährlich rund 100 Milliarden Euro. Dieser Betrag wird nicht kontrolliert: Es handelt sich um einen Blankoscheck.
Die Regionen und Gemeinschaften verfügen in Belgien über drei große Einnahmequellen. Zunächst – vor allem für die Regionen – handelt es sich um direkt erhobene eigene Steuern (z. B. Registrierungsgebühren oder Grundsteuer). Dann erhalten sie jährlich eine Summe durch föderale Zuwendungen. Schließlich erheben die Regionen Einnahmen über Zuschläge auf die föderale Einkommensteuer.
So können wir für jede einzelne Entität betrachten, wie viel Geld diese überflüssigen Strukturen die Belgier jährlich kosten.
1) Die Gemeinschaften
Die „flämische“ Gemeinschaft erhebt jährlich einen kleinen Teil eigener Steuern (etwa 200 Millionen Euro pro Jahr). Außerdem erhält sie 5 Milliarden Euro an jährlichen „föderalen“ Zuwendungen (davon gehen 250 Millionen Euro an die VGC – die „Flämische Gemeinschaftskommission“ – in der Region Brüssel).
Die „französische“ Gemeinschaft erhält jährlich 8 Milliarden Euro an „föderalen“ Zuwendungen, von denen 400 Millionen Euro an die FGC – die „Französische Gemeinschaftskommission“ – in Brüssel gehen. Darüber hinaus erhebt sie jährlich 250 Millionen Euro an eigenen Steuern. Die GGC in der Region Brüssel-Hauptstadt erhält jährlich 1 Milliarde Euro an „föderalen“ Transfers. Die übrigen 200 Millionen Euro, die diese Einrichtung jedes Jahr erhält, stammen aus dem Brüsseler Regionalhaushalt. Schließlich erhebt die deutschsprachige Gemeinschaft jedes Jahr 10 Millionen Euro an eigenen Steuern. Sie erhält 90 Millionen Euro an jährlichen Zuwendungen vom Staat.
Kurz gesagt, die drei Gemeinschaften erhalten zusammen jedes Jahr etwa 13 Milliarden Euro vom belgischen Staat. Die drei Gemeinschaftskommissionen in der Region Brüssel erhalten jährlich rund 2 Milliarden Euro, entweder indirekt (über den Haushalt der Gemeinschaften oder der Region Brüssel) oder direkt vom Zentralstaat bezahlt.

De federalistische geldverspilling – Le gaspillage d’argent fédéraliste – Die föderalistische Geldverschwendung
Bron – Source – Quelle: https://i2.pickpik.com/photos/988/1006/437/money-bank-note-euro-banknote-preview.jpg
2) Die Regionen
Seit der sechsten “Staatsreform” stammt ein Teil der Einnahmen der Regionen aus Zuschlägen auf die „föderale“ Einkommensteuer. Für die „flämische“ Region beläuft sich dies auf 18 Milliarden Euro pro Jahr. Diese Region erhält darüber hinaus 19 Milliarden Euro an direkten „föderalen“ Zuwendungen. Als wäre das nicht genug, erhebt sie zusätzlich 10 Milliarden Euro an eigenen Steuern. Die „wallonische“ Region erhebt 5 Milliarden Euro an eigenen Steuern und erhält 11 Milliarden Euro an „föderalen“ Zuwendungen. Hinzu kommen weitere 10 Milliarden Euro, die die Region jährlich über Zuschläge auf die nationale Einkommensteuer erhält. Dieser letztgenannte Betrag beläuft sich für die Region Brüssel auf 3 Milliarden Euro. Dieselbe Summe erhält diese Entität jährlich über direkte Zuwendungen. Schließlich erhebt die Region jedes Jahr direkt 2 Milliarden Euro an direkten Steuern.
Die drei Regionen erhalten zusammen jedes Jahr etwa 64 Milliarden Euro vom belgischen Staat. Ein sehr kleiner Teil davon wird an die GGC (Gemeinsame Gemeinschaftskommission) weitergeleitet.
3) Andere Ausgaben
Unabhängig von den genannten und astronomischen jährlichen Summen gewährt der „föderale“ Staat den Regionen und Gemeinschaften jedes Jahr rund 1 Milliarde Euro zur Finanzierung gemeinsamer Zuständigkeiten, für Kooperationsabkommen, Sanierungen oder ad-hoc-Hilfen.
Kurz gesagt, etwa 79 Milliarden Euro fließen jährlich an die Regionen und Gemeinschaften. Diese erheben darüber hinaus mehr als 17 Milliarden Euro an direkten Steuern. Das ist natürlich eine schwindelerregende Summe (rund 100 Milliarden Euro).
Jährlich nimmt der Zentralstaat 127 Milliarden Euro an Einnahmen ein, wovon also 79 Milliarden Euro an die „Teilstaaten“ gehen. Ihm verbleiben somit 48 Milliarden Euro. Der größte Teil davon dient zur Finanzierung der Sozialversicherung (durch Sozialversicherungsbeiträge und andere Einnahmen steigt der Betrag, der für die nationalen Zweige der Sozialversicherung ausgegeben wird, auf etwa 100 Milliarden Euro). Mit dem verbleibenden Geld müssen alle anderen Ressorts finanziert werden.
Im Gegensatz zu dem, was De Wever heuchlerisch oder aus Unwissenheit (?) erklärte, gibt es in Belgien also durchaus genug Geld. Es wird nur auf schamlose Weise verschwendet. Es ist empörend, dass jedes Jahr rund 100 Milliarden Euro für völlig nutzlose Einheiten vergeudet werden, die nicht einmal von einer höheren Behörde kontrolliert werden können. Mindestens 10 Milliarden Euro davon sind überflüssige, verschwendete Steuergelder (siehe unsere Studie).
Zum Vergleich: Der belgische Staat wird von der EU kontrolliert. 80 % dieses Betrags (alle nicht direkt erhobenen Einnahmen) werden übrigens von allen Belgiern bezahlt – von Arlon bis Ostende. Sie sollen jahrzehntelang zahlen, um ein unpraktikables und sündhaft teures sprachföderalistisches Labyrinth aufrechtzuerhalten. Jede Zuständigkeit, die von den sogenannten „Teilstaaten“ ausgeübt wird, kann einerseits vom Nationalstaat und andererseits von den Provinzen wahrgenommen werden. Mehr denn je ist es notwendig, das unitarische Belgien – mit einem einzigen Parlament und einer einzigen Regierung – nach einem Referendum über diese Frage wiederherzustellen.