DIX ANS APRES LES ATTENTATS DE PARIS – TIEN JAAR NA DE AANSLAGEN VAN PARIJS – ZEHN JAHRE NACH DEN ANSCHLÄGEN VON PARIS

Beeld – Image – Bild: Parijs; Paris

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LE FEDERALISME ET LA PARTICRATIE CONTINUENT A METTRE LA VIE DES BELGES EN DANGER

Cela fait dix ans que les attentats de Paris, préparés en Belgique, ont eu lieu. Ils ont causé 129 morts et plus de 350 blessés. Vous trouverez ci-après l’analyse que le B.U.B. a consacrée à cette affaire il y a dix ans. Elle est aujourd’hui tout aussi actuelle qu’à l’époque.

A la suite de ces actes terroristes, de vives critiques ont été émises contre le fédéralisme linguistique belge, y compris dans la presse internationale. Comme tous les ministères nationaux, la Justice et l’Intérieur étaient structurellement sous-financés en 2015, ce qui empêchait l’Etat de garantir la sécurité de ses propres citoyens. Cela est d’ailleurs apparu de manière particulièrement douloureuse lors des attentats de Bruxelles en 2016. Il n’est pas étonnant que l’État soit incapable d’y faire face. Le fédéralisme coûte chaque année au moins dix milliards d’euros et les communautés et régions reçoivent chaque année de l’État belge un chèque en blanc d’environ 80 milliards d’euros.

Dix ans et deux élections « fédérales » plus tard, rien n’a changé. Aucune compétence – même pas la plus insignifiante – n’a été refédéralisée. Aucune mesure n’a été prise pour renforcer l’unité de la Belgique.

Le B.U.B. répète que la particratie, qui a voulu, maintient et veut même « approfondir » le fédéralisme linguistique, est incapable de résoudre structurellement les problèmes des Belges. Cela ne peut être réalisé efficacement que dans une Belgique unitaire, décentralisée sur la base des neuf provinces historiques, avec un seul gouvernement et un seul parlement pour toute la Belgique.

LES ATTENTATS REVELENT L’INEFFICACITE DU FEDERALISME

Les attentats de Paris du 13 novembre, qui ont été préparés en Belgique, étaient d’abord une grande catastrophe humaine. En outre, ils ont démontré l’incapacité de la classe politique belge de garantir la sécurité dans notre petit Etat multilingue, qui est politiquement déchiré et désorganisé par le fédéralisme linguistique, ce qui est maintenant aussi reconnu par la presse étrangère. 

1. La N-VA: un lamentable parti populiste

Le bourgmestre anversois, Bart De Wever qui est également le président de la N-VA, n’a pas hésité à récupérer les tueries de Paris du 13 novembre dernier pour servir ses objectifs anti-belges. Dans le Gazet van Antwerpen (16 novembre 2015) il a déclaré notamment qu’il fallait abolir le Sénat afin d’investir ces moyens dans la Sûreté de l’Etat.

Tout d’abord, le président d’un parti qui appelle à la destruction de l’Etat belge est particulièrement mal placé pour se prononcer sur la sûreté de l’Etat belge. Il veut en effet détruire lui-même l’Etat. Bart De Wever est donc un hypocrite.

En outre, l’homme passe sous silence le coût colossal des régions et des communautés avec leur cinq parlements et gouvernements, qui coûtent 10 milliards d’euros par année. Ce sont ces ”entités fédérées” superflues que la N-VA entend renforcer, qui sont à la base du sous-financement de l’Etat central. Celui-ci ne dispose plus de moyens suffisants pour exécuter ses tâches importantes, comme la sécurité et la justice. Qui plus est, la N-VA plaide déjà depuis belle lurette pour la suppression du Sénat. Si ce n’est pas pour ”assurer la sécurité de l’Etat”, le parti séparatiste trouvera une autre excuse pour supprimer le Sénat. Depuis 1993 et surtout depuis la dernière ”réforme” de l’Etat (inconstitutionnelle!) de 2011, le Sénat se trouve en effet fortement affaibli. Pour le B.U.B., il faut au contraire de nouveau le renforcer afin d’augmenter la qualité du travail législatif. Toutefois, la N-VA n’est pas de cet avis et utilise l’attentat sanglant à Paris pour attaquer un symbole de la Belgique, comme si les attentats entretenaient un rapport quelconque avec le Sénat belge. De plus, une réforme de l’Etat visant à abolir le Sénat ne pourrait se réaliser qu’en 2019. Ce n’est donc pas pour demain en tout cas. Bref, De Wever est un pitoyable populiste.

Au cours du même interview, De Wever a également critiqué le fait que les services de police bruxellois soient éparpillés. C’est bien le comble de l’entendre de la part d’un parti séparatiste qui souhaite notamment régionaliser la police, la sécurité civile et les pompiers !

Qui plus est, la N-VA, un parti qui met en cause l’existence même de l’Etat reçoit des millions d’euros de dotations par an pour répandre sa haine envers les soi-disant ”Wallons” et les ”refugiés” (ou ”les musulmans”). Il s’agit d’une forme de soutien officiel à de la terreur – non-violente – contre la Nation.

2. La presse internationale critique le fédéralisme belge 

En nette opposition avec “nos” médias, les médias étrangers se rendent compte du vrai problème en Belgique. Ainsi, le journal allemand Die Welt (16 novembre 2015) pointait du doigt le laxisme politique et la faiblesse de l’Etat belge, déchiré par des réformes de l’Etat et des querelles politico-communautaires. Selon le journal allemand (pour lequel De Wever est un populiste de droite qui veut légitimer ses aspirations séparatistes en soulignant le dysfonctionnement de la justice belge), cette faiblesse structurelle facilite la montée du radicalisme salafiste. La radio Deutschlandfunk (17 novembre 2015) est encore plus claire au sujet du fédéralisme belge, qu’il qualifiait d’ « unfähig » (incapable).

Cependant, selon le discours de la particratie dirigeante (ce qu’on appelle dans le jargon particratique « la majorité »), le problème se limiterait à Bruxelles, voire à Molenbeek. Selon elle, toute la problématique serait réduite au PS et aux 19 soi-disant “baronnies” bruxelloises, comme si le fédéralisme linguistique était un système moderne et efficace pour combattre des problèmes de grande envergure.

L’influent magazine américain Politico soulignait que plusieurs causes permettaient d’expliquer pourquoi les attentats étaient planifiés à quelques kilomètres des institutions européennes. Parmi ces causes, la première et la plus importante fut la suivante: “Belgium has eight parliaments […]. Never mind that these bodies often do not communicate with each other or share information. The Belgian constitution enables a peculiar Belgian national condition of encouraging those with power to “look the other way” when an intractable problem emerges” (politico.eu, 18.11.15).Autrement dit, la Belgique est tellement éparpillée sur base de régions et de communautés qui ne communiquent pas entre elles qu’une politique efficace devient impossible. Ce constat évident est celui de chaque homme normal, hormis les particrates en Belgique et leurs médias serviles.

3. Le (con)fédéralisme et le séparatisme sont les grands perdants en Belgique

De façon paradoxale, malgré l’énorme souffrance humaine, les attentats perpétrés à Paris ont renforcé l’unité politique de la Belgique. Même le premier ministre Charles Michel a lancé un appel aux entités fédérées pour unir les forces contre le terrorisme lors d’un discours à la Chambre des Représentants le 19 novembre 2015. Qui plus est, comme l’U.E. s’oppose déjà à la dislocation des Etats-Membres (Espagne, Grande-Bretagne, Belgique), elle va s’opposer encore plus à la scission de la Belgique. En effet, la fin de la Belgique ne ferait qu’augmenter l’insécurité dans notre pays.

Le terrorisme international a en quelque sorte rendu obsolète le fédéralisme et le séparatisme en Belgique.

4. Le marais fédéraliste et les solutions unitaristes 

Entretemps, la malgouvernance fédéraliste se rend de plus en plus visible. Ainsi, Johan Leman, l’ancien directeur du Centre pour l’égalité des chances et de lutte contre le racisme (CECLR), institution qui est à l’heure actuelle “interfédéralisée” (sic), indique que le centre d’intégration de Molenbeek, nommé « Le Foyer », a perdu son financement provenant de la communauté “flamande” parce que celle-ci a jugé qu’une fonction de première ligne tel que celle qu’offre le Foyer n’était plus nécessaire et que seuls les nouveaux arrivants méritaient encore un investissement. Il s’agit sans doute d’un exemple de la “bonne gestion” “flamande” tant renommée…

En outre, la scission du parquet de l’arrondissement judiciaire de BHV ainsi que le manque flagrant de moyens financiers mis à disposition des services nationaux comme la police, la justice, l’armée et les pompiers – en raison des interminables réformes de l’Etat – ne font que contribuer à l’inefficacité du système étatique et donc à l’insécurité.

En revanche, le B.U.B. souhaite que la police, les pompiers, la protection civile et le parquet soient gérés au niveau provincial et coordonnés au niveau national.  Cela implique évidemment la réunification de la province du Brabant.

Enfin, on peut se poser la question de savoir si les attaques constantes contre l’Etat belge de la part de la particratie et de ses médias ne favorisent pas la haine chez certains allochtones contre l’Etat belge, à part évidemment le fait que les immigrants soient souvent la cible de partis racistes comme la N-VA et le VB. Or, ce racisme ethnique est en quelque sorte anticipé et banalisé par le racisme linguistique qui est institutionnalisé par le fédéralisme mis en place par cette même particratie.

5. Conclusion

Le malaise sécuritaire est profond et touche à toute la structure fédérale de la Belgique. En outre, la façon amateuriste dont les flamingants et wallingants pratiquent la politique en Belgique est un signe de désespoir malgré l’attention massive qu’ils reçoivent quotidiennement de leurs médias. Ils savent en effet que leurs idéologies sont basées sur des mensonges et des omissions. Cependant, peu à peu les citoyens belges commencent à comprendre que ces particrates et séparatistes éhontés les induisent en erreur.

DE PARTICRATIE EN HET FEDERALISME ZIJN NOG STEEDS LEVENSGEVAARLIJK VOOR DE BELGEN

Het is tien jaar geleden dat de in België voorbereide aanslagen in Parijs plaatsvonden. Daarbij vielen 129 doden en meer dan 350 gewonden. Hieronder vindt u de analyse die de B.U.B. tien jaar geleden aan de zaak wijdde. Ze is vandaag even actueel als toen.

In de nasleep van de terreur werd er scherpe kritiek geuit op het Belgische taalfederalisme, ook in de internationale pers. Net als alle nationale ministeries waren in 2015 Justitie en Binnenlandse Zaken structureel ondergefinancierd, waardoor de staat de veiligheid van zijn eigen burgers niet kon waarborgen. Dat laatste werd trouwens pijnlijk duidelijk bij de aanslagen in Brussel van 2016. Dat de staat hier niet toe in staat is, is geen wonder. Het federalisme kost jaarlijks minstens tien miljard euro per jaar en de gemeenschappen en de gewesten krijgen ieder jaar van de Belgische overheid een blanco cheque van ongeveer 80 miljard euro. Tien jaar en twee “federale” verkiezingen later is er niets veranderd. Geen enkele bevoegdheid – ook niet de meest onbenullige – werd geherfederaliseerd. Geen enkele maatregel werd genomen om de eenheid van België te bevorderen. 

De B.U.B. herhaalt dat de particratie die het taalfederalisme gewild heeft, in stand houdt, ja zelfs nog wil “verdiepen” niet in staat is om de problemen van de Belgen structureel op te lossen. Dat laatste kan enkel efficiënt gebeuren binnen een unitair België, gedecentraliseerd op basis van de negen historische provincies, met een enkele regering en een enkel parlement voor héél België.

DIE PARTIKRATIE UND DER FÖDERALISMUS SIND FÜR DIE BELGIER NOCH IMMER LEBENSGEFÄHRLICH

Es ist zehn Jahre her, dass die in Belgien vorbereiteten Anschläge in Paris stattfanden. Dabei kamen 129 Menschen ums Leben und mehr als 350 wurden verletzt. Nachstehend finden Sie die Analyse, die der B.U.B. der Angelegenheit vor zehn Jahren gewidmet hat. Sie ist heute ebenso aktuell wie damals

Im Anschluss an den Terror wurde scharfe Kritik am belgischen Sprachenföderalismus geübt, auch in der internationalen Presse. Wie alle nationalen Ministerien waren 2015 Justiz und Inneres strukturell unterfinanziert, sodass der Staat die Sicherheit seiner eigenen Bürger nicht gewährleisten konnte. Dies wurde bei den Anschlägen in Brüssel 2016 schmerzhaft deutlich. Dass der Staat dazu nicht in der Lage ist, ist kein Wunder. Der Föderalismus kostet jährlich mindestens zehn Milliarden Euro, und die Gemeinschaften und Regionen erhalten jedes Jahr vom belgischen Staat einen Blankoscheck von rund 80 Milliarden Euro. Zehn Jahre und zwei „föderale“ Wahlen später hat sich nichts geändert. Keine einzige Zuständigkeit – auch nicht die unbedeutendste – wurde wieder föderalisiert. Keine einzige Maßnahme wurde ergriffen, um die Einheit Belgiens zu stärken.

Der B.U.B. wiederholt, dass die Partikratie, die den Sprachenföderalismus gewollt hat, ihn aufrechterhält und sogar “vertiefen” will, nicht in der Lage ist, die Probleme der Belgier strukturell zu lösen. Dies kann nur effizient in einem unitarischen Belgien geschehen, dezentralisiert auf der Grundlage der neun historischen Provinzen, mit einer einzigen Regierung und einem einzigen Parlament für ganz Belgien.

AANSLAGEN TONEN ONWERKBAARHEID FEDERALISME AAN

De in België voorbereide aanslagen van Parijs van 13 november waren vooreerst een grote menselijke catastrofe. Bovendien tonen zij de onbekwaamheid van deBelgische politieke klasse aanom de veiligheid in onze kleine meertalige staat te garanderen, een staat die door het taalfederalisme politiek verscheurd en ontwricht is, wat nu ook in de buitenlandse pers wordt erkend. 

1. De N-VA: een zielige en populistische partij

De Antwerpse burgemeester Bart De Wever en voorzitter van de N-VA heeft niet geaarzeld om de moordpartijen in Parijs van 13 november ll. schaamteloos voor zijn anti-Belgische doeleinden te gebruiken. In De Gazet van Antwerpen (16 november 2015) verklaarde hij o.a. dat de Senaat moest worden afgeschaft om die middelen in de staatsveiligheid te investeren.

Allereerst is de voorzitter van een partij die predikt om de Belgische staat te vernietigen wel bijzonder slecht geplaatst om uitspraken te doen over de Belgische staatsveiligheid. Hij wil de staat immers zelf kapot maken. De Wever is dus een hypocriet.

Bovendien verzwijgt de man de immense kost van de gewesten en gemeenschappen met hun vijf parlementen en regeringen, die de burger jaarlijks 10 miljard euro kosten. Deze nutteloze “deelstaten”, die de N-VA nog sterker wil maken, zorgen ervoor dat de centrale staat te weinig middelen heeft om belangrijke taken, zoals veiligheid en justitie, uit te oefenen. Bovendien pleit de N-VA al lang voor de afschaffing van de Senaat: als het niet is om “de staatsveiligheid te versterken”, vindt de separatistische partij wel een ander excuus om de senaat af te schaffen. De Senaat is sedert 1993 en zeker sinds de laatste (ongrondwettelijke!) “staatshervorming” van 2011 inderdaad fel verzwakt. Voor de B.U.B. moet de Senaat daarentegen versterkt worden om de kwaliteit van het wetgevende werk te verhogen. Niet zo bij de N-VA, die van de bloedige terroristische aanslag in Parijs gebruikt maakt om een Belgisch symbool aan te vallen, alsof het één iets met het ander te maken zou hebben. Bovendien zou een staatshervorming om de Senaat af te schaffen ten vroegste in 2019 kunnen plaatsvinden. Niet meteen morgen dus. Kortom, De Wever is een goedkope populist.

In hetzelfde interview uitte De Wever ook wat gratuite kritiek op de “versnipperde” politiediensten in Brussel. Dat is wel het toppunt. Uitgerekend een separatistische partij die ondermeer de politie, de civiele veiligheid en de brandweer wil regionaliseren klaagt versnippering aan !

Op de koop toe krijgt de staatsgevaarlijke en fundamentalistische N-VA voor haar haatproza tegen de zogenaamde “Walen” en de “vluchtelingen” (of “de moslims”) miljoenen euro’s aan dotaties. Dat is een vorm van officiële steun aan – niet-gewelddadig – terrorisme tegen de Natie.

2. De buitenlandse pers bekritiseert het federalisme 

De buitenlandse media, in schril contrast met de “onze”, beseffen wel degelijk wat het échte probleem is in België. Zo wees de Duitse krant Die Welt d.d. 16 november 2015 het lakse Belgische beleid met de vinger, evenals de zwakte van ons land zelf dat verscheurd is door staatshervormingen en politiek-communautaire twisten. Volgens het blad (dat De Wever een rechtse populist noemt die zijn separatistisch streven wil legitimeren door te wijzen op het falende Belgische justitiebeleid), vergemakkelijkt deze structurele zwakheid de opkomst van het radicaal salafisme. De radiozender Deutschlandfunk was op 17 november 2015 nog duidelijker over het Belgisch federalisme, dat het als « unfähig » (ongeschikt) bestempelde.

Maar volgens het discours van het regerende deel van de particratie (wat men in het particratische jargon de “meerderheid” noemt) zou het probleem zich beperken tot Brussel, zelfs tot Molenbeek. Volgens haar zou de hele problematiek kunnen herleid worden tot de 19 zgn. Brusselse “baronnieën” alsof het taalfederalisme een modern en efficiënt systeem zou zijn dat in staat was grootschalige problemen op te lossen.

De invloedrijke Amerikaanse nieuwspublicatie Politico benadrukte dat verschillende oorzaken het mogelijk maakten dat de aanslagen op amper een paar kilometer van de Europese instellingen gepland werden. Onder die oorzaken lezen we als eerste en belangrijkste: “Belgium has eight parliaments […]. Never mind that these bodies often do not communicate with each other or share information. The Belgian constitution enables a peculiar Belgian national condition of encouraging those with power to “look the other way” when an intractable problem emerges” (politico.eu, 18.11.15). M.a.w. België is zodanig versnipperd over gewesten en gemeenschappen, die niet met elkaar communiceren, dat een efficiënt beleid onmogelijk wordt. Elk normaal mens ziet dit, behalve de particraten in België en hun slaafse media.

3. Het (con)federalisme en het separatisme zijn de grote verliezers in België

Op paradoxale wijze, ondanks het enorme menselijke lijden, hebben de aanslagen van Parijs de politieke eenheid van België versterkt. Zelfs eerste minister Charles Michel heeft in de Kamer van Volksvertegenwoordigers op 19 november 2015 een oproep aan de deelstaten gedaan om de krachten te verenigen tegen het terrorisme. Bovendien, net zoals de E.U. zich reeds verzet tegen het uiteenvallen van lidstaten (Spanje, Groot-Brittannië, België) gaat ze zich nu nog meer tegen de splitsing van België verzetten. Het einde van België zou immers de onveiligheid in ons land alleen maar doen toenemen.

Het internationale terrorisme heeft in zekere zin het federalisme en het separatisme in België oubollig gemaakt.

4. Het separatistisch moeras en unitaristische oplossingen 

Ondertussen komt het federalistische wanbeleid steeds meer aan het licht. Zo geeft Johan Leman, voormalig directeur van het Centrum voor Gelijke Kansen en Racismebestrijdingen (het CGKR), dat vandaag “geïnterfederaliseerd” is (sic), aan dat het integratiecentrum te Molenbeek, « Le Foyer » genaamd, de subsidie die het van de “Vlaamse” gemeenschap verkreeg, kwijtspeelde omdat die meende dat “Le Foyer” niet meer noodzakelijk was en dat enkel nieuwe inwijkelingen nog een investering waard waren. Dit is opnieuw een staaltje van dat beroemde “goede” “Vlaamse” bestuur…

Bovendien dragen de splitsing van het parket van het gerechtelijk arrondissement BHV en het schrijnend gebrek aan geldmiddelen van de nationale diensten zoals politie, justitie, leger en brandweer (een rechtstreeks gevolg van de ontelbare staatshervormingen) alleen maar bij tot het onwerkbaarheid van het staatsysteem en dus de onveiligheid.

De B.U.B. wenst daarentegen dat politie, brandweer, civiele bescherming en parket provinciaal bestuurd en nationaal gecoördineerd worden. Daarbij hoort natuurlijk ook een hereniging van de provincie Brabant.

Tot slot kan men zich terecht de vraag stellen of de voortdurende aanvallen op de Belgische staat vanwege de particratie en de media de haat bij bepaalde allochtonen tegen België niet aanwakkeren, buiten natuurlijk het feit dat immigranten vaak geviseerd worden door racistische partijen zoals de N-VA of het VB. Dit etnisch racisme wordt in zekere zin voorafgegaan en gebanaliseerd door het taalracisme dat op basis van het door de particratie gecreëerde federalisme geïnstitutionaliseerd werd.

5. Besluit

De veiligheidsmalaise zit diep en raakt aan de hele Belgische federale staatsstructuur. Bovendien is de amateuristische wijze waarop flaminganten en wallinganten in België aan politiek doen een teken van hun wanhoop ondanks de massale aandacht die ze dagelijks van hun media krijgen. Ze weten immers dat hun ideologieën gebaseerd zijn op leugens en verzwijgingen. Maar stilaan beginnen de Belgische burgers te snappen dat ze door deze schaamteloze particraten en separatisten bedrogen worden.