LE STAND DU B.U.B. DU 21 JUILLET 2025 – DE B.U.B.-STAND VAN 21 JULI 2025 – STAND DER B.U.B. VOM 21. JULI 2025

Foto – Image – Bild: De B.U.B.-stand enkele jaren geleden – Le stand du B.U.B. il y a quelques années – Stand der B.U.B. vor einigen Jahren

Bron – Source – Quelle: B.U.B.

PLUS QUE JAMAIS, UNE BELGIQUE UNITAIRE S’IMPOSE!

Comme chaque année, le B.U.B. aura un stand dans la Rue de la Régence à l’église NotreDame des Victoires du Sablon à Bruxelles le 21 juillet 2025. Le parti y expliquera notre parti et mouvement unitariste et centriste unique et vendra des articles tricolores comme des drapeaux belges. Il sera également possible de commander le livre unitariste de notre fondateur et président, Hans Van de Cauter. Ce livre est aussi publié sur notre site web.

Ce livre décortique scientifiquement les problèmes politico-communautaires qui agitent la Belgique depuis un demi-siècle. La cause de ces problèmes est le nationalisme linguistique et, en particulier, le nationalisme “flamand” et “wallon”. Le principal catalyseur de ce phénomène est le fédéralisme linguistique dispendieux, inefficace, éparpillant et polarisant qui a divisé la Belgique en communautés et en régions. Celles-ci se comportent comme de petits Etats au sein de l’Etat, chacun ayant son propre parlement, son propre gouvernement et son propre symbolisme. Ces institutions ont été créées par diverses “réformes” de l’État mises en œuvre par la particratie. Cette particratie a un quasi-monopole sur le pouvoir et érode la démocratie belge. Cette oligarchie de partis parvient à son tour à perpétuer son pouvoir par le biais de la médiacratie.

Parce qu’il n’y a pas de libre circulation des idées en Belgique et que seuls les discours fédéralistes, séparatistes et confédéralistes (les deux derniers étant plus ou moins synonymes) sont repris dans les médias audiovisuels, toute solution structurelle reste exclue. Et pourtant, celle-ci est simple: le rétablissement de la Belgique unitaire telle qu’elle existait jusqu’en 1970. Dans notre modèle, les régions et les communautés seront remplacées par les neuf provinces historiques. L’État national édicte les lois, les provinces les appliquent. Simple, efficace et peu coûteux.

Chaque année, le B.U.B. remarque que la plupart des Belges souhaitent au plus vite le retour à cette Belgique unitaire. Plusieurs études le confirment d’ailleurs.

Le nombre de séparatistes est inversement proportionnel à l’attention que les médias leur accordent. Cela est dû au fait que la plupart des médias sont aux mains de flamingants au nord du pays ou de wallingants (voire de flamingants) ou de défaitistes au sud de la Belgique. On le remarque dans la couverture médiatique extravagante de partis relativement petits mais séparatistes tels que la N-VA (14 % des voix belges) et le VB (11 % des voix belges).

Cela se voit également au niveau de la couverture médiatique de la Fête nationale. Les journalistes n’en parlent pas avant, mais seulement la veille pour résumer le discours royal et le jour même pour mentionner le défilé militaire, sans enthousiasme et tout cela souvent dans un sens particratique, sensationnel et antimonarchique.

En revanche, on n’entend pas un mot sur la foule incroyable qu’attirent les festivités chaque année et encore moins sur l’esprit unitariste de cette foule. La presse nous cache la vérité sur ordre de ses patrons particratiques et séparatistes.

Par ailleurs, plus personne ne croit encore au fédéralisme linguistique, à l’exception de quelques originaux ou de citoyens tout simplement très mal informés. Et c’est bien normal, car le fédéralisme a été instauré en Belgique pour diviser le pays, non pour l’unir comme aux États-Unis ou en Suisse. Pour ceux qui en doutent, il suffit de se référer aux six « réformes de l’État » qui, depuis 1970, ont progressivement démantelé la Belgique sur le plan politique.

Ou tout simplement au fait que Bart De Wever du parti séparatiste la N-VA, qui hait pathologiquement la Belgique, est aujourd’hui Premier ministre de la Belgique et a déclaré, tout récemment lors du sommet de l’OTAN de fin juin 2025, que la séparation des Pays-Bas constituait la plus grande catastrophe de notre histoire nationale. Vous avez bien lu: pas les nombreuses guerres qui ont ravagé nos régions, pas même l’occupation par le régime le plus génocidaire de l’histoire mondiale (1940-1944), mais bien l’existence même ( ! ) de la Belgique serait, selon le Premier ministre, la plus grande tragédie de notre passé. Le seul point “positif”, c’est qu’il semble désormais plaider pour la réunification de l’ensemble des Pays-Bas, et non plus seulement pour le rattachement – ou faudrait-il plutôt parler d’une annexion? – de la partie nord de la Belgique aux Pays-Bas (Lisez également notre texte précédent à ce sujet).

La Belgique ne pourra jamais tenir cette promesse si le fédéralisme n’est pas abrogé, car la dette nationale s’élève déjà à plus que 500 milliards d’euros en 2025 et le déficit budgétaire pour cette seule année s’élève à 30 milliards d’euros.

Il n’y a qu’une Union Belge (B.U.B.) forte qui puisse remettre notre pays à nouveau sur le droit chemin. Celui-ci doit garantir l’organisation d’un référendum sur la structure étatique souhaitée, ce qu’aucun autre parti n’ose faire. Sinon, ce ne sont pas le confédéralisme ou le séparatisme qui menacent, mais des années de discussions inutiles et le déclin économique. Nous voulons un avenir positif et unitaire pour notre petit mais beau pays! Nous vous souhaitons une bonne fête nationale et nous espérons vous voir à notre stand dans la Rue de la Régence. Toute aide financière est aussi la bienvenue car contrairement aux partis politiques traditionnels, le B.U.B. ne reçoit aucun subside de l’Etat.

Voici le numéro de compte du B.U.B.: BE91 068-2417677-76 BIC : GKCCBEBB

MEER DAN OOIT IS EEN UNITAIR BELGIË NOODZAKELIJK!

Op 21 juli 2025 houdt de B.U.B. in de Regentschapsstraat aan de Zavelkerk te Brussel zijn jaarlijkse stand. Vanaf 10 uur ‘s morgens zijn we aanwezig. De partij zal er uitleg geven over onze unieke unitaristische centrumpartij en -beweging en tricolore artikelen zoals Belgische vlaggen uitdelen en verkopen. Ook het unitaristische boek van onze stichter en voorzitter, Hans Van de Cauter, zal er gekocht of besteld kunnen worden (25 euro). Dit boek staat ook op onze website gepubliceerd.

In dat boek wordt de politiek-communautaire problematiek die België sedert een halve eeuw in de ban houdt op een wetenschappelijke wijze ontleed. De oorzaak van die problemen is het taalnationalisme en met name het ‘Vlaams-‘ en het ‘Waals’-nationalisme. De belangrijkste versterker hiervan is het peperdure, inefficiënte, versnipperende en polariserende taalfederalisme waardoor België opgedeeld is in gemeenschappen en gewesten. Die gedragen zich als staatjes binnen de staat, elk met hun eigen parlement, regering en symboliek. Deze instellingen werden gecreëerd door verschillende ‘staatshervormingen’ die door de taalgesplitste particratie werden doorgevoerd. Deze particratie heeft het quasi-monopolie op de macht en holt de Belgische democratie uit. Die partijenoligarchie weet op haar beurt haar macht te bestendigen via de mediacratie.

Aangezien er in België geen vrij verkeer van ideeën bestaat en enkel federalistische, separatistische en confederalistische opinies (de laatste twee zijn ongeveer synoniemen) in de audiovisuele media aan bod komen, blijft elke structurele oplossing uit. En die is nochtans simpel: het herstel van het unitaire België zoals dat tot 1970 bestond. De gewesten en de gemeenschappen worden in ons model vervangen door de negen historische provincies. De nationale staat vaardigt de wetten uit, de provincies voeren ze uit. Simpel, efficiënt en goedkoop.

Elk jaar merkt de B.U.B. opnieuw dat de meeste Belgen zo spoedig mogelijk naar dat unitaire België willen terugkeren. Meerdere studies bevestigen dit trouwens.

Het aantal separatisten is omgekeerd evenredig aan de media-aandacht die ze krijgen. En dat komt omdat de meeste media in handen zijn van flaminganten in het noorden van het land of in handen van wallinganten (en soms zelfs flaminganten) of defaitisten in het zuiden van het land. Dat merkt men aan de buitenissige media-aandacht voor relatief kleine, maar separatistische partijen zoals de N-VA (14 procent van de Belgische stemmen) en het VB (11 procent van de Belgische stemmen).

Men merkt dit ook aan de media-aandacht voor de Nationale Feestdag. De journalisten spreken er tevoren niet over, maar alleen de avond tevoren om de koninklijke toespraak samen te vatten en de dag zelf om te berichten over het militair défilé, zonder enthousiasme en dikwijls op een particratische, sensationele en anti-monarchistische wijze. 

Men rept daarentegen met geen woord over de ongelooflijke mensenmassa’s die de festiviteiten jaarlijks aantrekken en nog minder over de unitaristische gezindheid van die mensen. Een groot deel van de pers verbergt de waarheid in opdracht van haar particratische en separatistische broodheren.

Anderzijds gelooft niemand nog in het taalfederalisme, enkele zonderlinge of gewoon erg slecht geïnformeerde burgers niet te na gesproken. En dat is ook normaal want het federalisme werd in België ingevoerd om het land te splitsen, niet om het te verenigen zoals in de Verenigde Staten of Zwitserland. Voor wie dat niet gelooft, verwijzen we naar de zes ‘staatshervormingen’ die België sedert 1970 politiek ontrafelden.

Of gewoon naar het feit dat de pathologische België-hater, Bart De Wever van de separatistische N-VA, vandaag premier is van België en zonet nog op de NAVO-top van eind juni 2025 heeft verklaard dat de scheiding van de Nederlanden de grootste ramp uit onze nationale geschiedenis zou zijn. U leest het goed: niet de talrijke oorlogen die onze gewesten teisterden, zelfs niet de bezetting door het meest genocidaire regime uit de wereldgeschiedenis (1940-1944), maar wel het bestaan ( ! ) van België is volgens de premier de grootste ramp uit onze geschiedenis. Het enige “lichtpunt” is dat hij nu schijnt te pleiten voor de hereniging van de hele Nederlanden en niet alleen meer voor het noordelijk deel van België met Nederland. Of moeten we niet eerder over een aanhechting spreken? (lees ook onze eerdere tekst hieromtrent).

We wijzen er ook op dat de Belgische staat zich tijdens de laatste NAVO-top ertoe heeft verbonden om zijn militaire uitgaven drastisch te verhogen tot 5% van het BBP (terwijl de staat niet eens de eerder door de NAVO vereiste 2% haalt). België zal deze belofte nooit kunnen nakomen als het federalisme niet wordt afgeschaft, aangezien de nationale schuld in 2025 al méér dan 500 miljard euro bedraagt en het begrotingstekort voor dit jaar alleen al op 30 miljard euro ligt.

Alleen een sterke Belgische Unie (B.U.B.) kan ons land weer op het juiste spoor brengen. Die moet zorgen voor de organisatie van een referendum over de gewenste staatsstructuur, iets wat geen enkele andere partij aandurft. Anders dreigen niet het confederalisme of het separatisme, maar jaren van nutteloze discussies en economisch verval. Dat wil de B.U.B. niet! Wij willen een positieve en unitaire toekomst voor ons kleine, maar prachtige land! We wensen u een fijne Nationale Feestdag en we verwachten u op onze stand in de Regentschapsstraat. Elke financiële bijdrage is ook welkom want in tegenstelling tot de traditionele politieke partijen ontvangt de B.U.B. geen enkele toelage van de staat.

Dit is het rekeningnummer van de B.U.B.: BE91 068-2417677-76 BIC: GKCCBEBB).

STAND DER B.U.B. VOM 21. JULI 2025

MEHR DENN JE IST EIN EINHEITLICHES BELGIEN NOTWENDIG !

Wie jedes Jahr wird die B.U.B. am 21. Juli 2025 mit einem Stand in der Rue de la Régence bei der Kirche Notre-Dame des Victoires am Sablon in Brüssel vertreten sein. Die Partei wird dort unsere einzigartige unitaristische und zentristische Partei und Bewegung vorstellen und trikolore Artikel wie belgische Flaggen verkaufen. Es wird auch möglich sein, das unitaristische Buch unseres Gründers und Präsidenten Hans Van de Cauter zu bestellen. Dieses Buch wird auch auf unserer Website veröffentlicht.

Dieses Buch zerlegt auf wissenschaftliche Weise die politisch-gemeinschaftlichen Probleme, die Belgien seit einem halben Jahrhundert bewegen. Die Ursache dieser Probleme ist der sprachliche Nationalismus, insbesondere der “flämische” und der “wallonische” Nationalismus. Der wichtigste Verstärker dieses Phänomens ist der kostspielige, ineffiziente, zersplitternde und polarisierende Sprachföderalismus, der Belgien in Gemeinschaften und Regionen aufgeteilt hat. Diese verhalten sich wie kleine Staaten innerhalb des Staates, jeder mit seinem eigenen Parlament, seiner eigenen Regierung und seiner eigenen Symbolik. Diese Institutionen wurden durch verschiedene “Reformen” des Staates geschaffen, die von der Parkratie umgesetzt wurden. Diese Partikratie hat ein Quasi-Monopol auf die Macht und erodiert die belgische Demokratie. Diese Parteienoligarchie schafft es wiederum, ihre Macht durch die Mediakratie zu verewigen.

Da es in Belgien keine freie Zirkulation von Ideen gibt und in den audiovisuellen Medien nur föderalistische, separatistische und konföderalistische (wobei die beiden letzteren mehr oder weniger synonym sind) Diskurse wiedergegeben werden, ist eine strukturelle Lösung ausgeschlossen. Dabei ist die strukturelle Lösung ganz einfach: die Wiederherstellung des einheitlichen Belgiens, wie es bis 1970 bestand. In unserem Modell werden die Regionen und Gemeinschaften durch die neun historischen Provinzen ersetzt. Der Nationalstaat erlässt die Gesetze, die Provinzen führen sie aus. Einfach, effizient und kostengünstig.

Jedes Jahr stellt der B.U.B. fest, dass die meisten Belgier so schnell wie möglich zu diesem unitärische Belgien zurückkehren möchten. Dies wird auch durch mehrere Studien belegt.

Die Zahl der Separatisten ist umgekehrt proportional zur Aufmerksamkeit, die ihnen die Medien widmen. Das liegt daran, dass die meisten Medien im Norden des Landes in der Hand von Flaminganten sind und im Süden Belgiens in der Hand von Wallinganten (oder sogar Flaminganten) oder Defätisten. Das merkt man an der extravaganten Berichterstattung über relativ kleine, aber separatistische Parteien wie die N-VA (14 Prozent der belgischen Stimmen) und den VB (11 Prozent der belgischen Stimmen).

Dies zeigt sich vor allem in der Berichterstattung über den Nationalfeiertag. Die Journalisten berichten nicht vorher, sondern nur am Vortag, um die königliche Rede zusammenzufassen, und am selben Tag, um die Militärparade zu erwähnen, ohne Begeisterung und alles oft in einem partikratischen, sensationellen und antimonarchischen Sinne. Im Gegensatz dazu hört man kein Wort über die unglaubliche Menschenmenge, die die Feierlichkeiten jedes Jahr anziehen, und noch weniger über den unitaristischen Geist dieser Menschenmenge. Die Presse verschweigt uns auf Befehl ihrer partikratischen und separatistischen Wächter die Wahrheit.

Andererseits glaubt niemand mehr an den Sprachföderalismus, abgesehen von einigen Sonderlingen oder einfach sehr schlecht informierten Bürgern. Und das ist auch normal, denn der Föderalismus wurde in Belgien eingeführt, um das Land zu spalten, nicht um es wie in den USA oder der Schweiz zu vereinen. Wer das nicht glaubt, sei auf die sechs „Staatsreformen“ verwiesen, die Belgien seit 1970 politisch auseinandergenommen haben.

Oder ganz einfach die Tatsache, dass der pathologische Belgien-Hasser Bart De Wever von der separatistischen N-VA heute Premierminister Belgiens ist und erst kürzlich auf dem NATO-Gipfel Ende Juni 2025 erklärt hat, die Trennung der Niederlande sei die größte Katastrophe in unserer nationalen Geschichte. Sie haben richtig gelesen: nicht die zahlreichen Kriege, die unsere Regionen verwüstet haben, nicht einmal die Besetzung durch das wohl grausamste, völkermörderischste Regime der Weltgeschichte (1940–1944), sondern die bloße Existenz ( ! ) Belgiens selbst sei laut dem Premierminister die größte Tragödie unserer Vergangenheit. Der einzige “Lichtblick” ist, dass er jetzt offenbar für die Wiedervereinigung der gesamten Niederlande eintritt und nicht mehr nur für den nördlichen Teil Belgiens mit den Niederlanden. Oder sollten wir nicht eher von einer Annexion sprechen? (Lesen Sie auch unseren früheren Text dazu).

Wir weisen auch darauf hin, dass sich der belgische Staat beim letzten NATO-Gipfel verpflichtet hat, seine Militärausgaben drastisch auf 5 % des BIP zu erhöhen – obwohl er zuvor nicht einmal die von der NATO geforderten 2 % erreicht hat. Belgien wird dieses Versprechen niemals einhalten können, solange der Föderalismus nicht abgeschafft wird, da die Staatsverschuldung im Jahr 2025 bereits über 500 Milliarden Euro betragen wird und das Haushaltsdefizit allein für dieses Jahr bei 30 Milliarden Euro liegt.

Nur eine starke Belgische Union (B.U.B.) kann unser Land wieder auf den richtigen Weg bringen. Sie muss die Organisation eines Referendums über die gewünschte Staatsstruktur sicherstellen, was keine andere Partei wagt. Andernfalls drohen nicht Konföderalismus oder Separatismus, sondern jahrelange sinnlose Diskussionen und wirtschaftlicher Niedergang. Das will die B.U.B. nicht! Wir wollen eine positive und unitarische Zukunft für unser kleines, aber schönes Land ! Wir wünschen Ihnen einen schönen Nationalfeiertag und hoffen, Sie an unserem Stand in der Rue Régence begrüßen zu dürfen. Jeder finanzielle Beitrag ist willkommen, denn im Gegensatz zu den anderen traditionellen politischen Parteien erhält die B.U.B. keine Subvention vom Staat.

Hier ist die Kontonummer der B.U.B.: BE91 068-2417677-76 BIC: GKCCBEBB.