OCMW-VOORZITTER SLAAT BELG-UNIE-KANDIDATE BONT EN BLAUW – UN PRESIDENT DE CPAS TABASSE UNE CANDIDATE DE BELG-UNIE

Olivier Parvais, président du CPAS de Braine-l'Alleud, échevin et conseiller provincial - OCMW-voorzitter in Braine-l'Alleud, schepen en provinciaal raadslid

POLITIEKE AGRESSIE IN BRAINE-L’-ALLEUD

Op 12 september 2012 werd een kandidate van onze provinciale kartellijst BELG-UNIE in het district Nijvel (Brabant) zwaar toegetakeld tijdens een onderhoud met de voorzitter van het OCMW van Braine-l’Alleud, de heer Olivier Parvais (PS). Het slachtoffer werd met verschillende kwetsuren in het ziekenhuis van Braine-l’Alleud opgenomen. De politie heeft een proces-verbaal opgemaakt.

Om 10 uur ‘s morgens werd Edwinne Vanpeperstraete, kandidate op de vierde plaats van de provinciale kartellijst BELG-UNIE (B.U.B., CDF, BAB, Unibelgium) ontvangen op het kantoor van de voorzitter van het OCMW van Braine-l’Alleud in het kader van een dossier betreffende haar aanvraag voor een sociale woning, die haar geweigerd werd. Mevrouw Vanpeperstraete was het niet eens met deze negatieve beslissing waarop de voorzitter zich kwaad maakte. Toen onze kandidate verklaarde dat ze ook op de provinciale kieslijst van BELG-UNIE stond was het hek helemaal van de dam. Hij greep haar met zijn armen en sleurde haar buiten. Toen de dame aan de deur lag, nam hij een stoel en smeet die op haar. Daarna stampte hij haar in de rug terwijl hij haar beledigde. Olivier Parvais zou haar nog nageroepen hebben dat ze niet naar de politie moest stappen omdat hij veel macht had en de politie met haar verklaringen toch geen rekening zou houden…

Mevrouw Vanpeperstraete was totaal van streek en liet zich onderzoeken in het ziekenhuis van Braine-l’Alleud waar verschillende kwetsuren werden vastgesteld: een verstuiking van de voet, een verwonding aan de enkel, rugpijn en blauwe plekken op de armen en het scheenbeen. De dokter verklaarde haar drie dagen werkonbekwaam. De politie van Braine-l’Alleud heeft een proces-verbaal opgesteld.

Voor de B.U.B. is deze agressieve houding van een lid van de particratie kenmerkend voor de manier waarop de huidige machthebbers met de Belgische bevolking omgaan wanneer deze zich op democratische wijze tegen het regime verzet. Dit kan voor ons niet langer zo. De administratie moet ten dienste staan van de Belgen en niet omgekeerd !

 

AGRESSION POLITIQUE A BRAINE-L’ALLEUD

Le 12 septembre 2012, une candidate de notre liste provinciale du cartel BELG-UNIE dans le district de Nivelles (Brabant) a été rouée de coups  lors d’un entretien avec le président du CPAS de Braine-l’Alleud, Monsieur Olivier Parvais (PS). La victime a été admise à l’hôpital de Braine-l’Alleud avec plusieurs blessures. La police a dressé procès-verbal.

A 10 heures du matin, Edwinne Vanpeperstraete, candidate à la quatrième place de  la liste provinciale de BELG-UNIE (B.U.B., CDF, BAB, Unibelgium) a été reçue au bureau du président du CPAS de Braine-l’Alleud dans le cadre d’un dossier concernant sa demande de logement social, qui lui a été refusée. Madame Vanpeperstraete n’était pas d’accord avec cette décision négative ce qui a énervé le président. Lorsque notre candidate a déclaré qu’elle se présentait sur la liste provinciale de notre cartel BELG-UNIE, le président a perdu la tête. Il l’a attrapé par les bras et l’a traîné hors du bureau où il l’a laissé par terre. Puis, il a pris une chaise et l’a jeté sur elle après quoi il lui a donné un coup de pied dans le dos tout en l’insultant. Olivier Parvais lui aurait encore averti qu’elle ne devait pas déposer plainte parce qu’il est un homme puissant et que la police ne tiendrait pas compte de ses déclarations…

Madame Vanpeperstraete était sous le choc et s’est laissée examiner à l’hôpital de Braine-l’Alleud où plusieurs blessures ont été constatées: une entorse au pied, une plaie à la cheville, un mal de dos et des bleus sur les bras et le tibia. Le médecin l’a déclarée en incapacité de travail pendant trois jours. La police de Braine-l’Alleud a dressé proces-verbal.

Pour le B.U.B., cette attitude agressive d’un membre de la particratie est caractéristique de la façon dont les politiciens actuels traitent la population belge lorsque celle-ci proteste de façon démocratique contre le régime. Cela ne peut continuer comme cela. L’administration doit être au service des Belges et non l’inverse !

 

Ci-dessous, nous publions littéralement la version de M. Parvais ou de son conseil reçue le 14 septembre 2012 / hieronder publiceren we letterlijk de versie van de heer Parvais of zijn raadsman ontvangen op 14 september 2012:

Le Président du CPAS de Braine-L’Alleud, Olivier PARVAIS, a chargé son conseil de déposer sur le champ plainte avec constitution de partie civile entre les mains d’un juge d’instruction contre Madame VANPEPERSTRAETE et contre X à la suite des accusations gravement mensongères qui ont été portées à son encontre.

Tenu au secret du huis-clos, il se contentera ici de signaler que l’intéressée, par ailleurs candidate aux élections provinciales, a pris rendez-vous avec lui dans l’exercice de ses fonctions de président de CPAS. Comme il ne pouvait, dans le strict respect de la légalité, satisfaire à ses demandes, elle a refusé de quitter son bureau. Lorsque elle en a été finalement éconduite sans aucune violence, elle se serait laissée tomber sur le sol. La police a finalement du intervenir pour qu’elle quitte les lieux.

Madame VANPEPERSTAETE affirme donc de manière totalement mensongère et insultante avoir été « rouée de coups » ou « tabassée » et se rend ainsi coupable, à l’instar de son parti qui relaye ses dires, de l’infraction pénale de diffamation.

Olivier PARVAIS est convaincu que l’instruction pénale mise en œuvre à son initiative permettra de démontrer que Madame VANPEPERSTRAETE a porté atteinte de manière insupportable à son honneur et que le BUB, s’appuyant sur ses déclarations, use de pratiques politiques déloyales et indignes en démocratie.

Braine-l’Alleud, le jeudi 13 septembre 15h00″

Note du B.U.B. / noot van de B.U.B.:

Remarquez la contradiction dans cette explication étrange: Madame Vanpeperstraete ne voulait pas partir, mais elle serait partie de son propre gré après quoi elle serait tombée par terre. Pourquoi ferait-elle une chose pareille? Cela ne tient pas la route.

Il est aussi surprenant que les médias n’en disent rien. Si la victime avait été membre de la particratie, l’attention médiatique aurait été phénoménale…

Dès lors, tout porte à croire que la particratie veut étouffer cet incident sévère digne d’une dictature.

 

Merk de contradictie in deze vreemde uitleg op: Mevrouw Vanpeperstraete wou niet vertrekken, maar zou toch uit eigen wil zijn weggegaan waarna ze op de grond zou gevallen zijn. Waarom zou ze zoiets doen ? Dit houdt geen steek.

Het is ook erg opvallend dat de media hier niets over zeggen. Het slachtoffer moest maar eens een lid van de particratie geweest zijn. Alle kranten zouden ervan hebben volgestaan…

Het heeft er dan ook alles van weg dat de particratie dit ernstig incident, dat aan een dictatuur doet denken, wil wegmoffelen.